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Avec: Lionel Tua, Serge Avédikian, Michel Albertini. L’ingénieur Aldellio a découvert la synthèse artificielle de deux substances fondamentales (le Stelin et le Skalt) permettant la production d’une énergie (l’Oréon). Grâce à cette découverte, l’équilibre mondial a été reconditionné. Quand débute le film, l’ingénieur a
Lescréateurs de cette affiche pour La vie telle que nous la connaissons l'ont en quelque sorte dénuée de toute perception de la profondeur. Josh Duhamel semble pouvoir donner un coup de pied
Leschoses de la vie angoissent Pierre: faire de la voile avec sa femme et son fils manque de piquant. Cela ne ressemble certainement pas à une vente aux enchères qui fait
Àl’occasion de la présentation au festival de Cannes de deux de ses films, Frère et Sœur d’Arnaud Desplechin et Un beau matin de Mia Hansen Love, Numéro a rencontré Melvil Poupaud, figure familière du cinéma français depuis les années 1990.
z4NOn. Publié le 30 nov. 2021 à 1645Mis à jour le 30 nov. 2021 à 1722Alexandre, fils d'un animateur star de la télévision, est accusé de viol par Mila, née dans un milieu social plus modeste. Il nie les faits et soutient que la jeune fille était consentante… En 2019, Karine Tuil publiait Les Choses humaines » Editions Gallimard, un roman où elle examinait les arrangements avec la probité de protagonistes inscrits dans les réalités ambiguës de la France d'aujourd' d'Yvan Attal reste fidèle aux thèmes de ce livre dont il modifie en partie la structure narrative. Entre fiction judiciaire et réflexion morale, le film n'échappe pas aux pièges de l'édification et semble parfois embarrassé par la multitude de ses sujets la culture du viol », le communautarisme, la fracture sociale, les ambivalences du néoféminisme, les faux-semblants médiatiques… Malgré ses maladresses, le film se distingue du tout-venant par ses ambitions, sa complexité, et confirme que le cinéaste Yvan Attal Le Brio », Mon chien stupide » se refuse à signer des fictions formatées et Choses humainesFIlm Françaisd'Yvan AttalAvec Ben Attal, Suzanne Jouannet, Charlotte h affronter la montée des incertitudes ?Inflation, hausse des taux d’intérêt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour évoluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rédaction des Echos est précieuse. Chaque jour, nos enquêtes, analyses, chroniques et édito accompagnent nos abonnés, les aident à comprendre les changements qui transforment notre monde et les préparent à prendre les meilleures découvre les offres
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Un récit passionnant, qui fait entendre la voix de l’éternel doute Alexandre Farel, fils d’un célèbre animateur télé sur le point de recevoir la légion d’honneur et d’une essayiste médiatisée, tous deux séparés, rentre de Stanford pour quelques temps. Il souhaite revoir Yasmina, femme plus âgée qui est maintenant directrice de cabinet du Ministre de l’économie, avec laquelle les échanges ont toujours été crus, même par écrit. Son père, jouant les séducteur avec une stagiaire, couche avec celle-ci, qui démissionne dès le lendemain. C’est alors que son fils est emmené en garde à vue pour 48 heures… C’est autour du sujet du viol, questionnant consentement comme emprise, que se construit le nouveau film d’Yvan Attal, dont l’intérêt pour les ressorts du couple et de la famille ne s’est jamais démenti, depuis "Ma femme est une actrice" jusqu’à "Mon chien stupide", en passant par "Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants". Finies ici les inspirations personnelles et l’humour teinté d’ironie, en adaptant le roman éponyme de Karine Tuil, prix Interallié et prix Goncourt des lycéens en 2019, il nous plonge au cœur d’un drame mêlant les destins de deux êtres, brisés, et de leurs familles respectives. Car alors que l’on s’attendait à ce que ce soit l’attitude du père qui engendre le drame le personnage joué par Pierre Arditi sera finalement emmené totalement ailleurs, c’est finalement le fils qui se retrouve accusé de viol, par la fille de son beau père. Une situation qui va bien entendu mettre la mère Charlotte Gainsbourg, dans une situation impossible, et révéler au passage le fonctionnement du père, homme de pouvoir et d’argent. Grâce à un scénario habile, qui mêle les destins de deux familles, largement au-delà des actes de leurs enfants, Yvan Attal réussit pleinement son pari aborder une thématique hautement inflammable, en tentant d’apaiser le débat, sans jamais nier la souffrance d’aucune des deux parties. Disséquant durant 2h18 les arguments des uns et des autres, scrutant les conséquences du déchaînement médiatique et populaire les tweets assassins sur la mère..., il prend son temps pour présenter les points de vue radicalement différents des deux parties sur le même événement. Divisé clairement en trois parties, le film possède une ellipse de 30 mois après les deux premières, qui permet enfin d’aborder le procès, sortant ainsi du passionnel pour tenter de pénétrer dans le factuel. Une partie où l’indécence de l’étalage au grand jour des fantasmes comme des penchants, le rôle du hasard, la capacité à dire non, l’influence des événements passés, les potentielles vengeance ou manipulation, la capacité à demander pardon ou à pardonner, sont questionnés dans le détail. Patiemment, ce passionnant film fleuve met en avant ce temps de confrontation nécessaire, visant à mieux cerner la zone d’incertitude, celle qui unira à jamais dans le malheur les deux protagonistes. Grâce à un casting sans fausse note, révélant Suzanne Jouannet en accusatrice, et réunissant Ben Attal efficace en accusé, Mathieu Kassovitz en beau père effondré qui sort les crocs au moindre mot déplacé, Charlotte Gainsbourg en mère prise en étau, intellectuellement comme dans sa vie intime, et Pierre Arditi en père qui cache derrière son caractère odieux son haut niveau d’inquiétude, c’est un film d’une rare intelligence, dans son propos comme dans sa forme, qui se déploie sous nos yeux. On en ressort lessivé, percuté par des dialogues où chaque mot semble pesé, conscient que seuls les deux protagonistes seront à jamais les seuls à savoir ce qui s’est réellement passé ce soir là . Un film essentiel pour mieux sortir du militantisme benêt, du lynchage collectif ou de la vaine polémique, sur un sujet d’une importance capitale. Envoyer un message au rédacteur BANDE ANNONCE
Se détachant de la saga originelle, ce nouveau film retrace les aventures du vrai ranger de l'espace, qui a inspiré le jouet d'Andy dans "Toy Story". Disney/Pixar Le Buzz l'éclair du nouveau spin-off en salles ce mercredi 23 juin n'est pas celui que vous connaissez Disney/Pixar CINÉMA - Il porte la même combinaison, lui ressemble comme deux gouttes d’eau et prononce à longueur de temps “vers l’infini et l’au-delà ”... Le personnage à l’affiche du nouveau Buzz l’éclair a beau tout avoir du jouet de Toy Story, il est en réalité un inconnu pour le grand public. Bien loin d’avoir usurpé l’identité du meilleur ami de Woody, ce nouveau personnage est en fait le véritable ranger de l’espace que le jouet pense être dans la saga originelle. Rappelez-vous en 1995, Andy reçoit un petit personnage en plastique issu de son film préféré. Et bien c’est tout simplement ce même film qui est projeté dans les salles obscures françaises depuis ce mercredi 22 juin. Nouveau personnage, nouvelle voix Qui dit nouveau personnage dit nouvelle voix. Et c’est François Civil qui a été choisi pour doubler cette figure culte. Incarner Buzz l’éclair, “c’était un rêve de gosse”, explique l’acteur au HuffPost, lui qui est “très client de Toy Story et de tous les Pixar” depuis l’enfance. L’acteur phare du Chant du Loup et de Bac Nord s’est vu confier la tâche difficile d’incarner un nouveau personnage que tout le monde croit pourtant déjà connaitre. ”Mais les deux Buzz sont finalement très différents, et on le comprend tout de suite dans le film”, explique-t-il. Le jouet étant doublé par Richard Darbois depuis 1995, “il fallait marquer cette différence”, estime Lyna Khoudri, qui interprète Izzy, grande acolyte du ranger dans le spin-off. ”Ça aurait sans doute été déroutant de ne pas changer de voix, puisque les deux Buzz n’ont pas du tout les mêmes traits de caractère”, précise-t-elle. Dans le film, Buzz l’éclair échoue sur une planète inconnue et hostile avec son équipage. Il se donne alors pour mission de ramener tout le monde à la maison, tout en défiant son grand ennemi Zurg et son armée de robots qui veulent l’en empêcher. Arrogant, trop assuré et orgueilleux sur le papier, il a tout pour être détestable. “Surtout au début. Mais ensuite il réalise lui-même qu’il n’est pas si impeccable que ça. C’est pour ça qu’on s’attache à lui”, développe François Civil. “L’idée de base de ce personnage c’est de sauver tout le monde. Même s’il s’y prend parfois de la mauvaise manière et qu’il est entêté, il a cette envie héroïque”, ajoute Lyna Khoudri. Pour l’aider, l’astronaute sera rapidement accompagné de Sox Michaël Gregorio son robot-chat de compagnie, mais également de trois jeunes recrues de la “Zap Patrouille” Izzy Lynha Koudri, Darby Steel Chantal Ladesou et Mo Morrison Tomer Sisley. “C’est une bande de bras cassés avec beaucoup de défauts, qui n’ont clairement pas leur place dans une patrouille de rangers”, explique Tomer Sisley. “Mais ils sont touchants”, et “unis par leur envie d’aider”, ajoute Michael Gregorio. La moitié du casting français n’avait jamais fait de doublage Les deux têtes d’affiche, Lyna Khoudri et François Civil, n’avaient jamais fait de doublage avant Buzz l’éclair. “On est tous les deux arrivés dans un univers que l’on ne connaissait pas. C’était beaucoup plus léger de découvrir le doublage ensemble, pour enlever la pression, et proposer des choses sans avoir peur du ridicule. Ça nous a beaucoup stimulés”, expliquent les acteurs qui ont également tourné ensemble pour le film Les trois Mousquetaires de Martin Bourboulon prévu pour 2023. François Civil a notamment dû “beaucoup travailler dans les graves” pour incarner Buzz. Résultat ce doublage lui donne un timbre que l’on n’est pas habitué à entendre chez l’acteur. Cecile Burban François Civil et Lyna Khoudri prêtent leur voix dans le film "Buzz l'éclair". Cecile Burban Chantal Ladesou non plus ne s’était jamais essayé au doublage, bien qu’elle “en avait envie depuis longtemps”. “Je me suis juste doublée moi-même dans mes films parce qu’en général, on ne comprend pas très bien ce que je dis”, ironise-t-elle. “C’est assez difficile. Mais on a beaucoup travaillé avec Hervé Rey directeur artistique et coach vocal sur le film. Finalement, il faut oublier l’acteur américain, entrer en soi et proposer quelque chose de nouveau”, conclut-elle. Avant même sa sortie en France, Buzz l’éclair a fait l’objet d’une censure dans une douzaine de pays et territoires du Moyen-Orient et d’Asie, dans lesquels sa diffusion est interdite. La raison le film contient une scène de baiser entre deux femmes. Le spin-off rejoint ainsi la longue liste de films bannis aux Emirats arabes unis et en Arabie Saoudite pour référence LGBTQ. Ce fut également le cas pour Doctor Strange in the Multiverse of Madness, Les Eternels ou encore West Side Story. À voir également sur Le HuffPost Ce Buzz l’éclair oublié dans un avion a vécu sa meilleure vie
Roberto Begnini, 1997 LE COMMENTAIRE La vie n’est pas drôle tous les jours. Il est facile de trouver à se plaindre quand tout va bien. Au contraire, il est plus compliqué d’apporter un peu de gaité quand tout n’est que grisaille. Cela est néanmoins possible. Un sourire. Une plaisanterie. Un petit clin d’oeil rassurant, comme pour indiquer que tout ira bien. LE PITCH Un père masque l’horreur de la déportation à son fils. LE RÉSUMÉ 1939. Guido Orefice Roberto Begnini décide de se rendre à Arezzo pour travailler comme serveur dans le restaurant de son oncle Eliseo Giustino Durano. Il séduit Dora Nicoletta Braschi grâce à sa joie de vivre et son enthousiasme débordant. Buongiorno Principessa! Dora donne naissance au petit Giosuè Giorgio Cantarini. La petite famille nage en plein bonheur dans une Italie qui se noie doucement dans le fascisme. Les chemises virent progressivement au noir. Guido, Eliseo et Giosuè sont victimes d’une rafle. Dora ne pouvant se résoudre à les voir partir, décide de monter également dans le wagon. Une fois arrivés, les hommes sont séparés des femmes. Guido parvient néanmoins à envoyer régulièrement des messages à sa femme pour la rassurer ou lui rappeler son amour. Le père veut surtout préserver son fils de l’horreur de la déportation. Il décide de lui faire croire que tout cela n’est qu’un jeu dont la récompense est un char d’assaut. Chaque jour, il est possible de collecter des points. Le grand gagnant remporte un magnifique tank. Guido maintient tant bien que mal un équilibre précaire jusqu’à la débâcle. Profitant de la panique, il tente de retrouver Dora de l’autre côté du camp mais se fait capturer puis exécuter par un soldat Allemand. Giosuè qui s’est caché dans une boite voit les Alliés pénétrer dans le camp au petit matin. Il découvre émerveillé un char gigantesque comme son père le lui avait promis. L’EXPLICATION La vie est belle, c’est la beauté de la farce. Les Italiens ont la réputation d’être de sacrés truqueurs. On se rappelle des mises en scène ridicules de Fabrizio Ravanelli pour faire croire à l’arbitre qu’il y avait penalty. L’Italie n’a-t-elle pas gagné la Coupe du Monde 2006 sur une ruse du vilain Materazzi ? Vu de France, l’Italien est menteur. Un petit Pinocchio qui, avant d’être repris par Walt Disney, était déjà de la littérature pour enfants écrite par Collodi. En bon Italien, Guido invente toute une mascarade pour faire croire à son fils qu’il participe à un jeu. Il fait ainsi honneur au pays de la comedia dell’arte. Le pays des masques. Donc c’est assez naturellement que l’Italien exagère, triche et baratine. Presque une seconde nature. Ne crachons pas dans la minestrone et sachons remercier l’Italie pour autre chose que ses pizzas. Grâce à cette comédie, elle nous donne l’impression que la vie peut encore ressembler à une conte de fée. C’est d’ailleurs pour cela que les femmes aiment l’Italie qui pourrait s’apparenter à du fond de teint couvrant un visage fatigué, ou de la confiture sur une tranche de pain de mie sans intérêt. L’Italie donne du goût aux choses simples et des couleurs à ce qui est devenu fade. Un peu d’épices. C’est le retour à l’enfance. L’Italie nous donne envie d’y croire alors que le reste du monde ne donne pas toujours envie de s’accrocher. Don’t go gentile in that good night cf Interstellar. Un peu de légèreté, ça fait du bien. Avoir la faculté de se distancer du réel n’est pas donné à tout le monde cf Tirez sur le pianiste. On peut rire de tout mais pas avec tout le monde. La preuve on ne se marre pas avec les Allemands qui ne font pas dans la fantaisie. Ce qui est bien pratique quand on a besoin d’une assurance ou d’un four. Voire d’une grosse voiture qui va vite. Par contre, la rigueur Allemande est également pesante. Elle va à l’encontre de cette légèreté de l’être tellement latine. Fondamentalement, les Allemands n’apprécient pas l’humour Italien. Hitler a toujours pensé que Mussolini était un guignol. Et si l’Italie représente la vie insouciante dans laquelle tout est peut-être possible, l’Allemagne à l’inverse représente la mort mais aussi la lâcheté, incarnée par ce soldat qui abat Guido sèchement alors qu’il n’a plus rien à gagner. L’Allemagne est un rappel à une réalité qui est loin d’être rose. Rendons hommage à l’effort de ces parents qui surnagent pour masquer la cruauté du monde à leurs enfants. Parce que quand on est parent, on essaie d’offrir le plus de sécurité possible. On a aussi envie de proposer un monde qui soit le plus beau et divertissant possible pour ses gamins. Pour cela il faut partager une certaine vision de la vie, comme une gigantesque comédie. Il faut parfois fermer les yeux sur certaines atrocités pour continuer à vivre, comme un mensonge utile qu’on se ferait à soi-même. Dans l’une de ses devinettes au Dr Lessing Horst Buchholz, Guido évoque l’obscurité. Più è grande e meno si vede. Alors qu’il est dans la panade la plus noire, Guido décide d’en ignorer le drame. C’est un peu tout l’inverse de Goebbels qui affirmait au contraire que plus le mensonge était gros, plus les gens l’avalerait facilement cf Treasures from the wreck of the unbelievable. On peut donc décider de voir la chope de bière à moitié vide ou le verre de Chianti à moitié plein. La tentative de Guido est toute à son honneur. Elle ne se solde d’ailleurs pas tout à fait par un échec. Giosuè finira par se rendre compte un jour que son père lui a menti et qu’il ne s’agissait pas d’un jeu. Son réflexe sera peut-être d’être un peu en colère que son père se soit moqué de lui. Quand il comprendra que ce n’était pas le cas, il sera surtout en colère contre le soldat Allemand. Puis triste d’avoir perdu son papa. Enfin, il sera sûrement admiratif. Fier de son père qui a essayé de le préserver de l’horreur environnante. Investi de la mission de divertir les autres à son tour. Réussir à ne rien prendre au sérieux pour garder le sourire. Être à jamais libre. Les Allemands ont décimé un peuple mais ils ne sont pas parvenus à transformer le rêve en cauchemar. LE TRAILER Cette explication de film n’engage que son auteur.
affiche film les choses de la vie