Dansquels cas peut-on refuser / faire appel d'un redoublement ? En primaire comme en secondaire, les parents ont leur mot à dire. Etudiez de près les critères retenus par les enseignants pour Mesparents peuvent-ils refuser notre union?. Salam aalikom, Cela fait 2 ans que je suis avec mon petit ami. On s'aime beaucoup. Je viens de finir mes études et aujourd'hui je suis prète à faire ma vie avec lui. Il envisage de venir voir mes parents pour demander ma main. Le gran Impassepour la famille de Yony. Cet élève dys doit faire sa rentrée en CM1 mais la MDPH 62 lui refuse une AVS alors que l'école et 2 médecins attestent de ses troubles. Ce sont donc 5 parents qui se relayeront sur les bancs de l'école. 29 août 2017 • Lécole est un DROIT, l’AVS un aménagement, une aide, une compensation au handicap. En aucun cas la présence de l’AVS ne peut être une condition pour scolariser l’enfant. Deuxtypes de référé devant un tribunal administratif sont envisageables contre un refus de scolarisation discriminatoire. Pour les enfants de moins de 6 ans, il est recommandé de privilégier le référé-suspension (1°) sur le référé-liberté qui semble ne bénéficier qu’aux enfants relevant de l’obligation scolaire (2°). Onavait le droit à une aide de 1000 euros de la part du conseil général et pour cela il fallait fournir les documents qui montraient quels étaient les frais supplémentaires liés à la participation du gamin au voyage ( car PMR, hébergement en hôtel adapté, régime alimentaire spécifique, hébergement de l'avs). Au total cela faisait 2000 euros. On a obtenu les 1000 euros v5PbwNz. Lorsque la commission mentionnée à l'article L. 146-9 du code de l'action sociale et des familles constate que la scolarisation d'un enfant dans une classe de l'enseignement public ou d'un établissement mentionné à l'article L. 442-1 du présent code requiert une aide individuelle dont elle détermine la quotité horaire, cette aide peut notamment être apportée par un accompagnant des élèves en situation de handicap recruté conformément aux modalités définies à l'article L. cette scolarisation n'implique pas une aide individuelle mais que les besoins de l'élève justifient qu'il bénéficie d'une aide mutualisée, la commission mentionnée à l'article L. 146-9 du code de l'action sociale et des familles en arrête le principe et en précise les activités principales. Cette aide mutualisée est apportée par un accompagnant des élèves en situation de handicap recruté dans les conditions fixées à l'article L. 917-1 du présent individuelle mentionnée au premier alinéa du présent article peut, après accord entre l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation et la famille de l'élève, lorsque la continuité de l'aide est nécessaire à l'élève en fonction de la nature particulière de son handicap, être assurée par une association ou un groupement d'associations ayant conclu une convention avec l' pôles inclusifs d'accompagnement localisés sont créés dans chaque département. Ils ont pour objet la coordination des moyens d'accompagnement humain au sein des écoles et établissements scolaires de l'enseignement public et de l'enseignement privé sous contrat. Ils constituent des pôles ressources à destination de la communauté éducative ; ils associent à cet effet des professionnels de santé et les gestionnaires des établissements et services médico-sociaux mentionnés aux 2° et 3° du I de l'article L. 312-1 du code de l'action sociale et des familles. Ces dispositifs visent à mieux prendre en compte les besoins éducatifs particuliers de l'élève en situation de handicap en vue du développement de son modalités d'application du présent article, notamment la désignation des personnes chargées de l'aide mentionnée aux deux premiers alinéas et la nature de l'aide, sont déterminées par à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019. Vérifié le 04 juillet 2022 - Direction de l'information légale et administrative Premier ministreL'établissement scolaire de votre enfant organise des sorties et des voyages scolaires dans un objectif pédagogique précis. Contrairement aux voyages, les sorties ne comportent pas de nuitée. A quelles conditions votre enfant peut-il y participer ? Encadrement, documents à fournir, participation financière, assurance...voici les règles à respecter. Elles sont différentes selon qu'il s'agisse d'une sortie régulière, occasionnelle ou un voyage scolaire. Société Déclaré "grande cause nationale" en 2012, l'autisme pâtit encore d'un manque de structures pour prendre en charge les enfants qui en souffrent. Sollicités pour témoigner sur des parents racontent leurs parcours, marqués par les difficultés et le sentiment de solitude. A la suite de l'article "Guerre ouverte contre la psychanalyse dans le traitement de l'autisme"Le Monde , paru dans daté 17 février, nous avons lancé un appel à témoignages aux parents d'enfants autistes afin qu'ils racontent les difficultés de la prise en charge. Voici une sélection de leurs récits. "On nous a dit qu'il était urgent d'attendre", Anne-Cécile D., 39 ans, à Nantes. Arthur, âgé de 5 ans et demi, est autiste typique sévère. Au CMP centre médico-psychologique où il est suivi à Nantes, l'équipe nous a dit qu'il était "urgent d'attendre", qu'il ne fallait pas "l'enfermer dans une étiquette". Ce n'est qu'après avoir menacé de saisir le conseil de l'ordre que les soignants ont enfin accepté de procéder à un diagnostic. Les évaluations se sont échelonnées sur dix-huit mois! Sans avoir contacté son école, le pédopsychiatre nous a sommé de déscolariser notre enfant, pour le laisser à temps plein à l'hôpital de jour. Selon lui, nous devions faire le deuil des progrès d'Arthur qui jamais ne parlerait ou ne deviendrait continent, etc. Nous sommes partis à toutes jambes et avons mis en place une prise en charge adaptée à son handicap, avec un psychologue ABA Applied behavior analysis, analyse appliquée du comportement et un intervenant à domicile, qui nous a coûté 2 500 euros par an, à notre charge, pendant deux ans. Aujourd'hui, j'ai arrêté de travailler pour monter une école ABA avec d'autres familles dans laquelle nos enfants progressent à grands pas. Mais nous avons tous sacrifié nos vies à nos enfants. "Lorsqu'on a mis un mot sur son problème, j'étais soulagée et effondrée à la fois", par Aurore M. Je suis la maman d'Enzo, reconnu TED troubles envahissants du comportement avec troubles autistiques depuis l'âge de 3 ans et demi. J'avais remarqué que quelque chose n'allait pas, car à un an et demi-deux ans, Enzo ne parlait pas. C'est la première chose que j'ai remarqué. Quand j'en parlais à son pédiatre, c'était "tout va très bien, il finira par parler"... Dans ma famille, nous avions aussi remarqué qu'Enzo ne nous regardait pas quand on lui parlait. Mais tout allait toujours très bien, selon les médecins. A l'âge de 3 ans, Enzo est rentré en maternelle. J'ai eu de la chance, sa maîtresse était quelqu'un de très bien. En effet, Enzo ne parlait toujours pas, mangeait de la colle, sortait de la classe... C'est la première personne extérieure à la famille qui a remarqué que ça n'allait pas. Enzo a commencé les séances d'orthophonie. L’orthophoniste nous a envoyé au CAMSP Centre d'action médico-sociale précoce. Enzo a passé différents tests psychomoteurs, IRM, prises de sang. Après une attente d’environ six mois, le CAMSP m'a envoyé vers le CMPP centre médico-psycho-pédagogique. Là, la pédopsychiatre a posé le diagnostic et nous a parlé d'autisme. Lorsqu'on a posé un mot sur son problème, j'étais soulagée et effondrée à la fois. Maintenant, Enzo est bien pris en charge, mais je suis toujours autant scandalisée car mon fils, depuis sa naissance, était suivi tous les mois par un pédiatre qui ne s'alarmait pas plus que ça du fait qu'à 2 ans, il ne parlait pas. "En France, les listes d'attente sont interminables, mon fils a été scolarisé en Belgique", par Anne M., 38 ans, Boulogne-sur-Mer Pas-de-Calais. Mon fils a été mis hors de l'école à 3 ans et demi, il était en effet "non conforme" à la norme... Faute de structure pour lui listes d'attente interminables, il a été scolarisé en Belgique jusqu'à ses 6 ans et demi, âge auquel une place s'est ouverte dans un IME institut médico-éeducatif pour qu'il rejoigne sa maman en France! Au moment du diagnostic, on nous avait proposé des activités en CMP deux fois par semaine et deux heures par jour. Après quelques mois de congés enfant malade pris en charge par la CAF , je ne pouvais plus assurer mon travail... ce qui m'a poussé à faire le choix de le scolariser en Belgique. Heureusement que son père habitait à la frontière belge pour le récupérer chaque soir... Quelle galère en effet pour une maman et pour la fratrie. Mon fils est différent, et on nous l'a bien montré. Dans certains pays comme la Belgique, ces enfants font partie de la population et ont une place à part entière. "L'impression que le monde va s'écrouler", par Elodie R., 25 ans. Je suis maman d'une petite fille , Nourhane, âgée de 5 ans et demi. En 2009, elle a été diagnostiquée "autiste sévère". Lorsque l'on vous annonce que votre enfant ne parlera peut-être jamais, on a l'impression que le monde va s'écrouler. Aucune crèche ne voulait d'elle, car selon eux, Nourhane aurait perturbé le fonctionnement d'une journée. Malgré l'attribution d'une auxiliaire de vie scolaire, elle n'a pas pu être accueillie dans une école maternelle. La cause ? Nourhane faisait peur aux autres enfants et ralentissait le travail de la classe. Un seul centre l'a accueillie un moment, mais un beau jour, Nourhane ne pouvait plus y aller car elle était trop grande. A ce jour, ma fille n'est toujours pas scolarisée dans une école. Quant aux centres adaptés à son handicap, la liste d'attente est de plusieurs années. Elle ne parle pas, n'est pas encore propre, s'automutile, n'a aucune notion du danger, aucune relation avec les autres. Tous les enfants ont droit à la scolarité, mais je n'ai pas l'impression que cette loi s'applique pour les enfants autistes. Ces enfants ont besoin d'une école qui utilise la méthode ABA comme aux Etats-Unis, ce qui leur permet d'évoluer quotidiennement et intellectuellement. J'espère qu'en lisant ce témoignage, des personnes réagiront face à ma détresse et à celle des autres parents d'enfants autistes. "Que de temps perdu !", Thierry S., 41 ans, enseignant, à Martinet Vendée. Notre fille était suivie par un CAMSP à Paris jusqu'à notre déménagement en Vendée. Elle avait 4 ans. Elle y avait été diagnostiquée par un neuropédiatre. La prise en charge était satisfaisante. Très tôt, nous avions contacté le CAMSP de Vendée pour assurer le suivi. Mais d'excuses en excuses, ils reculaient la prise en charge. Après plus d'un an, en insistant, nous avons eu 4 ou 5 séances mais le suivi s'arrêta elle avait 6 ans. Que de temps perdu ! Sa mère a arrêté son activité contre 350 euros mensuels de prestations. Nous avons recherché en libéral les mêmes spécialistes qui suivaient notre fille à Paris. Rares, ils obligent à parcourir de grandes distances et ne sont pas ou très mal remboursés. Les négociations avec la MDPH maison départementale des personnes handicapées et les dossiers à remplir nécessitent beaucoup de temps, d'énergie. Nous avons aussi visité les institutions de Vendée - qui coûtent au contribuable 600 euros par jour -, discuté avec les parents et les personnels, mais l'approche est trop psychanalytique et la prise en charge aussi. Il y a parfois quelques activités occupationnelles, mais pour eux, ces enfants sont psychotiques. Ils attendent qu'ils se décident à parler au lieu de leur apprendre à communiquer. Les mères y sont souvent considérées comme cause du problème. Mais l'autisme est pourtant un trouble neurologique qui nécessite une stimulation importante, c'est reconnu internationalement. Notre fille alterne donc prises en charges libérales et école avec AVSi assistante de vie scolaire. "Les portes se ferment à l'adolescence !", par Nadine L., 46 ans, Cherbourg Manche. Ma fille est autiste Asperger , diagnostiquée à l'âge de 3 ans. Dans mon malheur , j'ai eu beaucoup de chance de rencontrer une équipe formidable et connaissant bien le sujet , contrairement à de nombreux parents ! Ma fille est en 3e ; c'est très difficile pour elle à ce jour. Elle est dyscalculique sévère et n'a quasiment pas eu de prise en charge dans ce domaine, ce qui fait qu'elle reste aujourd'hui avec un niveau de CM1 en 3e. Les portes se ferment donc pour elle après le collège . Elle rêverait de travailler avec les animaux, comme soigneur animalier, ou flore et faune... Seulement, tout se trouvant en lycée professionnel, seul un bac pro est possible dans ce domaine , mais son niveau de CM1 en maths ne lui permet pas l'accès a ces lycées. Elle gère elle-même très mal cette situation. Nous sommes très inquiets quant à son suivi après le collège , il n'y a pas d'ortophonistes formés pour ma fille dans ma région qui auraient pu la prendre en charge. Très peu de professionnels connaissent l'autisme, ils manquent de formation, et de nombreux parents se débrouillent seuls, n'ont aucune prise en charge... C'est scandaleux ! "Le bilan des compétences se faisait toujours à partir des défaillances", par Barbara L., 46 ans, professeur certifié, Aveyron. Maman d'une jeune fille autiste de bientôt 20 ans, j'ai connu les déboires de la génération de parents qui ont eu à lutter pour tout. D'abord le diagnostic - mon enfant avait un langage de bébé précoce jusqu'à l'âge de 18 mois, ensuite, elle n'est pas rentrée dans la constructions de phrases ; comportements bizarres. Puis le parcours "classique" école maternelle, psychologue, hôpital de jour et des conseils du style "Amenez-nous votre enfant, c'est un tyran domestique mais nous, on exigera un peu de sa part et vous verrez que tout ira mieux." Vers l'âge de 4 ans et demi on m'a enfin guidée vers un service d'évaluation spécialisé, on a mis un mot sur notre souffrance et nous pouvions avoir accès à des formations qualifiantes notamment un diplôme d'université autisme. A la maison, nous étions prêts à accompagner notre fille dans sa façon de faire des apprentissages. Mais pour son évolution intellectuelle, il ne fallait pas compter sur le milieu institutionnel on nous avait guidé vers le seul établissement du département ayant un agrément exclusif de l'accueil de la pathologie et une approche psy. Le bilan des compétences se faisait toujours à partir des défaillances. Le parcours douloureux de mon enfant a failli se terminer en hôpital psychiatrique. Certes, la venue d'un enfant autiste bouleverse une famille et un accompagnement psychologique positif aurait été le bienvenu, mais pas celui-ci ! "Il faut une dose de chance pour avoir en face de soi la personne compétente", par Murielle B., Plougastel-Daoulas Finistère. Mon fils a été diagnostiqué autiste en 2001. Le professeur qui m'a reçue ma dit "Votre fils est autiste, il ne fera jamais rien de sa vie, n'espérez pas le voir à l'école." Ça fait un choc ! Il a ensuite été observé pendant un an et on m'a dit "Votre fils est autiste atypique." Mon fils a été dans un centre de jour où nous ne savions pas ce qui s'y faisait, on nous disait que faire de l'orthophonie ne servait à rien, et on nous refusait le droit de rencontrer d'autres parents... L'école ? Personne n'en voulait. Finalement, nous avons vu un pédopsychiatre de Brest, celui-ci nous a presque sauvé la vie. "Oui, votre fils est autiste, mais ça ne veut pas dire que c'est la fin de la vie. On peut mettre plein de choses en place pour l'aider orthophonie et école ordinaire accompagnée d'une AVS." Avouez que si le diagnostic est le même, la façon de le gérer n'a rien à voir... Nous avons vendu notre maison de Nantes, j'ai renoncé à mon travail pour me consacrer à mon fils, mon mari a changé de travail pour venir habiter près de ce pédopsychiatre. Depuis, nous avons créé avec d'autres parents une association qui aide les parents arrivant dans le milieu de l'autisme. Après beaucoup de démarches, de dossiers, nous avons réussi à obtenir le droit à l'école avec AVS... Mon fils est actuellement en 5e avec AVS. C'est un vrai parcours du combattant auquel les parents sont confrontés et il faut une dose de chance pour avoir en face de soi la personne compétente. "Mon fils éprouve des difficultés d'apprentissage, car le programme est inadapté", par Laurence L., 41 ans, infirmière. J'ai un enfant autiste de 10 ans, diagnostiqué à 20 mois. Malgré un diagnostic précoce, j'ai rencontré bon nombre de difficultés dues essentiellement à la méconnaissance de ce handicap. La principale étant l'intégration scolaire - due à une méconnaissance encore une fois de l'autisme - auprès des instituteurs limite maltraitants et à un manque cruel d'assistants de vie scolaire formés. Encore aujourd'hui, mon fils est en CE2, dans une classe ordinaire, scolarisé 18 heures par semaine avec une AVS, mais l'avenir n'est pas tout rose. En effet, il éprouve des difficultés d'apprentissage, car le programme est inadapté pour lui. Il aime ce qui est concret et plus il avance dans le cursus scolaire, plus c'est abstrait. Donc nous voilà confrontés encore une fois devant le fait qu'il a des capacités - il sait lire parfaitement par exemple -, mais à la fois, l'écart se creuse par rapport aux exigences qui lui sont demandées. Que faire? Le laisser coûte que coûte dans le cursus, mais à un moment donné, il va se casser la figure, ou l'orienter dans une autre structure, non adaptée à l'autisme, où il risque de régresser ? Voilà le dilemme de bon nombre de parents d'enfants autistes. Cela nous révolte. Mais nous restons impuissants. Notre pays reste très en retard sur la prise en charge de l'autisme par comparaison avec d'autres pays. Notamment en ce qui concerne les nouvelles méthodes comportementales qui ont déjà fait leur preuve ailleurs ABA et TEACCH et qui fonctionnent très bien sur notre fils. "Une fois adultes, les autistes ont autant, sinon encore plus de difficultés", par Régine C. N'oublions pas que les enfants autistes deviennent des adultes, avec autant sinon encore plus, de difficultés. Mon fils a 25 ans ; j'ai connu les difficultés pour obtenir un diagnostic fiable et cohérent, les difficultés pour trouver une place quelque part pour lui et, si possible, avec un accompagnement adapté à son handicap. Nous nous sommes battus tous les jours et encore aujourd'hui pour qu'il ait une vie digne de ce nom, jusqu'à quand ? Mon fils a un bon niveau, sait lire , écrire, s'exprime et, arrivé à l'âge adulte, nous nous posons la question de son orientation. Pas de foyer de vie pas assez stimulant pour son niveau. Pas de milieu ordinaire trop autiste. Le choix s'est fait sur une orientation en ESAT établissement et services d'aide par le travail adapté aux personnes avec déficience intellectuelle, mais pas à celles avec autisme... Cela fait bientôt quatre ans, et ce n'est pas du tout satisfaisant, il nous faut réfléchir à un autre accompagnement pour stimuler ses compétences perte de langage car trop peu d'échanges, renfermement.... Les parents prennent les choses en main, créent des solutions privées en recrutant eux-mêmes des professionnels de l'autisme à domicile, organisent les prises en charge... Est-ce satisfaisant pour un pays tel que le nôtre ? Les parents s'y épuisent...Il y a pourtant des solutions et pas uniquement en institution, mais en créant de petites unités moins onéreuses pour la collectivité et plus adaptées. > Lire notre article "L'accompagnement des personnes souffrant d'autisme reste insuffisant". Le Monde Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. En écoutant tous les marronniers de rentrée sur toutes les chaînes et en étant tombée hier soir sur un débat enregistré visiblement en juin sur la chaîne parlementaire, on voit que tous ceux qui veulent changer » et rénover » l’école pour redonner de l’attractivité au métier d’enseignant ne connaissent rien à son essence même qui est la transmission des connaissances et ils se f.. d’ailleurs des connaissances en général, probablement parce qu’ils pensent que leur propre culture suffisante est personnellement acquise sans aide extérieure ils raisonnent en terme d’industrie heures, rendement, coûts - pensant à augmenter les horaires des professeurs là où il faudrait augmenter les horaires matières, réduire les vacances pour former les professeurs à internet, là où il faudrait leur laisser le temps de mettre à jour leurs connaissances dans ma matière de lire et réfléchir et d’ailleurs de se ressourcer nerveusement car oui il le faut pour tenir bon et enfin, arme massive, les primes au mérite comme si l’éducation des enfants demandait des exploits spéciaux aux enseignants et non la tranquillité quotidienne du travail bien fait. Bref ceux qui pensent politiquement l’école sont à la fois trop paresseux intellectuellement pour s’en informer vraiment ou ne le peuvent pas car ils sont par trop formatés intellectuellement pour imaginer d’autres recettes que celles imaginées dans le monde industriel pour produire plus de saucissons au meilleur coût . C’est exactement pareil qu’à l’ n’ose reprendre la réflexion à partir de là où on s’est fourvoyés avec une belle utopie le collège unique, la massification et l’écrasement de toute la structure y compris universitaires par une masse d’élèves mal formés à tout et qui n’ont aucune chance de réussite - et finalement la seule égalité où on a progressé est l’égalité dans l’échec. Même la question des rémunérations en dépend puisqu’on ne peut payer convenablement une profession qui s’est elle aussi massifiée et que l’on ne cesse de dé professionnaliser par des recrutements sans qualifications suffisantes…Bon courage à ceux qui oseraient y réfléchir….Dernière édition par Iphigénie le Mer 24 Aoû 2022 - 704, édité 2 foisManu7Érudit valle a écrit Manu7 a écritAujourd'hui, c'est la loterie, ceux qui sont contratuels depuis 2 ou 3 ans tiennent relativement bien la route, car sinon ils sont écartés mais comme la crise devient énorme on commence aussi à garder dans le circuit des contractuels malgré les avis défavorables des CDE !!! On marche sur la tête, on voit de tout c'est vraiment inquiétant, j'ai déjà vu des élèves me demander de venir plus souvent remplacer un contractuel les larmes aux yeux... Et au passage, je me dis que si tous les contractuels pouvaient passer 5 à 10 minutes devant un IPR pour être recrutés cela ne ferait pas de mal car on oublie que beaucoup ne passent même pas par ce dispositif et on se retrouve parfois avec des cas très limite totalement incompétents voire presque dangereux. Je ne pense pas qu'il s'agisse d'estimer les possibilités qu'un contractuel soit compétent et d'en conclure qu'elles sont trop basses pour ce qui serait idéal c'est la loterie. Le problème est qu'un contractuel n'a pas été recruté selon la procédure statutaire, point les "épreuves" de sélection ont été autres et son recrutement n'a pas permis a tous les candidats de concourir librement, c'est peut imaginer une situation où tous les contractuels seraient largement plus diplômés que les titulaires, par exemple c'est peut-être le cas ça ne change rien au fait que leur présence est, selon l'architecture institutionnelle, une exception, et que le contrat ne peut pas être vu comme une alternative au statut. Je suis totalement d'accord avec toi, mais j'abordais une autre facette du problème, dans la réalité tout comme à France Télécom, quand on casse le statut mis en place on se retrouve toujours au final avec une énorme proportion d'incapables. Et je pense sincérement que les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années avait eu le même débat dans le premier dégré avec la mise en place des FAPE, je me souviens que sur France Inter un célèbre pédopsychiatre disait que les PE étaient inquiets car ils avaient peur que des personnes moins qualifiée soient meilleurs qu'eux... Les PE avaient simplement peur que des personnes incompétentes soient responsables des enfants, et la réalité leur a donné raison, en dehors de quelques intervenants qui proposaient des activités enrichissantes et qui souvent ne restaient pas longtemps, le reste était d'un niveau ridicule et dans ma commune les adjoints au maire s'arrachaient les cheveux pour faire comprendre qu'il était essentiel de ne pas partir avant l'arrivée des parents à la fin de la séance. zigmag17Vénérable Cleroli a écrit Sliv a écritBonjour, ce matin sur le figaro live vers 10h, notre cher ministre se faisait filmer en direct du rectorat de l'académie de Créteil pour la réunion de la cellule qui gère les contractuels et TZR. Je n'ai vu que les vingt dernières minutes. En tant que TZR, un passage m'a interpellé un des responsables expliquait qu'ils avaient mis en place une politique de fidélisation des contractuels. Autrement dit, sur certaines zones les contractuels passent en priorité sur les AFA devant les TZR... Ce n'est donc pas une légende urbaine... Je ne crois pas que l'extrait vidéo ait été posté, le voici unamusedAuverlot, recteur de l'académie de Créteil, explique au ministre Ndiaye qu'il s'assoit dans certains cas sur les statuts des profs et de la Fonction Publique Notre politique, ça a été de fidéliser les contractuels et de les faire passer avant les titulaires »SNESFSU green_apple Du pognon pour les profs! moneybag Ithyphallique August 23, 2022 Manifestement le Recteur a bien accompli la mission qui lui a été confiée et "cela" plaît. vous découvrez ces pratiques seulement maintenant? Mon inspecteur m’avait parlé de ce problème dans mon académie il y a maintenant sept ou huit ans. en me parlant de postes bloqués au profit de contractuels dans certains lycéesbeaverforeverHabitué du forumSi vous allez faire un tour sur Canope, vous trouverez plein de formations pour les contractuels, soit généralistes qu'est-ce qu'un CPE ? Qu'est-ce qu'un chef d'établissement? ou par Iphigénie a écritMais vous découvrez ces pratiques seulement maintenant? Mon inspecteur m’avait parlé de ce problème dans mon académie il y a maintenant sept ou huit ans. en me parlant de postes bloqués au profit de contractuels dans certains lycées A cette échelle oui, je le découvre. Je pensais que c'était rare, un pis-aller; pas que c'était devenu une méthode. On en parlait et j'ai découvert cette situation ici, en lisant des témoignages .CaroNiveau 9 les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencé il y a près de 22 ans par choix !!! valleFidèle du forum Caro a écrit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencé il y a près de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en général il est évident qu'il y avait aussi des contractuels très, très, peu compétents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre des affirmations générales et particulières, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne, si on ramène tout au jugement sur l'individu, tout raisonnement devient impossible.Ton "par choix" m'interroge était-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens à signer un contrat avec l'ÉN ???zigmag17Vénérable valle a écrit Caro a écrit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencé il y a près de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en général il est évident qu'il y avait aussi des contractuels très, très, peu compétents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre générales et particulières, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne.Ton "par choix" m'interroge était-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens à signer un contrat avec l'ÉN ??? Par choix il me semble que c'est pour ne pas subir le système des mutations non?JacqMonarqueLa pénurie a été organisée depuis plus de 20 ans, la contractualisation était même présentée par Macron durant son premier quinquennat comme l'avenir de la fonction publique, dans la ligne droite de l'époque de Sarko. On ajoute la perte d'attractivité du métier, la difficulté à muter et la difficulté à recruter causes et conséquences de la contractualisation cela ne date pas... mais cela commence à se voir sage Manu7 a écrit Et je pense sincérement que les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années 2000. C'est basé sur quoi ? Ton observation personnelle ?C'est uniquement les contractuels ou les nouveaux titulaires sont aussi en dessous de ceux des années 2000 ?zigmag17Vénérable Jacq a écritLa pénurie a été organisée depuis plus de 20 ans, la contractualisation était même présentée par Macron durant son premier quinquennat comme l'avenir de la fonction publique, dans la ligne droite de l'époque de Sarko. On ajoute la perte d'attractivité du métier, la difficulté à muter et la difficulté à recruter causes et conséquences de la contractualisation cela ne date pas... mais cela commence à se voir lourdement. C'est ça. Le côté public, assumé, auto-satisfait, du ministre, des recteurs et consorts, colore la contractualisation de soufre et de désespoir je m'entraine pour le prochain Printemps des Poètes !En attendant, tout le monde va bien du forum valle a écrit Caro a écrit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencé il y a près de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en général il est évident qu'il y avait aussi des contractuels très, très, peu compétents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre des affirmations générales et particulières, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne, si on ramène tout au jugement sur l'individu, tout raisonnement devient impossible.Ton "par choix" m'interroge était-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens à signer un contrat avec l'ÉN ??? Peut-être qu'elle veut juste dire qu'elle n'a pas raté le concours 20 fois. Et qu'elle est donc restée contractuelle par du forum Lowpow29 a écrit valle a écrit Caro a écrit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencé il y a près de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en général il est évident qu'il y avait aussi des contractuels très, très, peu compétents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre des affirmations générales et particulières, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne, si on ramène tout au jugement sur l'individu, tout raisonnement devient impossible.Ton "par choix" m'interroge était-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens à signer un contrat avec l'ÉN ??? Peut-être qu'elle veut juste dire qu'elle n'a pas raté le concours 20 fois. Et qu'elle est donc restée contractuelle par choix. Mais ça en revanche semble comporter un jugement général sur les collègues il y aurait des contractuels "par obligation" qui ont raté le concours, qui peuvent bouger mais n'en ont pas envie, etc. et des contractuels "par choix" qui n'ont pas tenté le concours ou qui l'ont eu, qui sont contraints de rester dans une commune..., avec le sous-entendu que les contractuels "par choix" sont les "bons", je serait comme dire qu'il y a des titulaires "par choix" qui ont eu le poste souhaité, ou qui avaient déjà un travail et on choisi de se reconvertir... et "par contrainte" mutés par extension ou qui ont eu le concours parce que c'était la suite "logique" à leurs études.CaroNiveau 9Aucun jugement de ma part ni sur les "bons" ni sur les "mauvais" contractuels. Je n'ai jamais tenté le concours. J'ai très vite compris que si je devenais titulaire, il me serait impossible de suivre mon époux à l'autre bout du monde. Avec le temps, je suis certaine d'avoir fait le bon du forum Caro a écritAucun jugement de ma part ni sur les "bons" ni sur les "mauvais" contractuels. Je n'ai jamais tenté le concours. J'ai très vite compris que si je devenais titulaire, il me serait impossible de suivre mon époux à l'autre bout du monde. Avec le temps, je suis certaine d'avoir fait le bon choix. Mais quels sont les contractuels qui ne le sont pas "par choix" ?RuthvenGuide spirituelSophie Vénétitay fait le job dans sa réaction à la vidéo de D. Auverlot et opportunisme en instrumentalisant la crise de recrutement pour aller toujours plus loin dans la remise en cause du statut et en piétinant les droits des titulaires. Inadmissible !Le statut de fonctionnaire donne des obligations mais aussi des droits. Il s’inscrit dans la conception d’un fonctionnaire citoyen. Et c’est peut-être ça qui dérange, vu l’entreprise de casse du statut et de promotion de la contractualisation menée par depuis les luttes à venir, la défense du statut sera centrale. C’est défendre nos droits, mais aussi une certaine conception du service public ambitieuse, démocratique et au service de l’intérêt général."CaroNiveau 9J'ai croisé certains contractuels qui ne parviennent pas avoir le concours et donc qui ne le sont donc pas par choix. Lisak40Fidèle du forumCaro C'est étonnant je ne met absolument pas en doute ta parole ceci dit car moi ce que j'ai surtout croisé, ce sont des contractuels qui n'osent pas passer le concours, pensant probalement à tort ou à raison qu'ils n'ont pas les capacités pour pour le réussir, mais cela ils l'avouent rarement. Il y a parfois aussi en tous les cas dans mon établiseement des problèmes de nationalité contractuels non citoyens européens. La plupart des contractuels croisés passent le concours assez rapidement quand même, et souvent le réussissent, notamment ceux qui tenaient la route en tant que prof contractuel. Après il y a des exceptions contractuel longue durée, tout à fait capable d'avoir le concours, sans problème de nationalité, sans famille / conjoint qui imposerait de rester en RP -de toutes les façons, vouloir rester en RP n'est généralement pas un problème-, mais je n'ai jamais compris leurs motivations je n'ai pas non plus rencontré 500 contractuels...Dernière édition par Lisak40 le Mer 24 Aoû 2022 - 846, édité 1 foisvalleFidèle du forum Lisak40 a écritCaro C'est étonnant je ne met absolument pas en doute ta parole ceci dit car moi ce que j'ai surtout croisé, ce sont des contractuels qui n'osent pas passer le concours, pensant probalement à tort ou à raison qu'ils n'ont pas les capacités pour pour le réussir, mais cela ils l'avouent rarement. Il y a parfois aussi en tous les cas dans mon établiseement des problèmes de nationalités contractuels non citoyens européens. La plupart des contractuels croisés passent le concours assez rapidement quand même, et souvent le réussissent, notamment ceux qui tenaient la route en tant que prof contractuel. Après il y a des exceptions contractuel longue durée, tout à fait capable d'avoir le concours, sans problème de nationalité, sans famille conjoint qui imposerait de rester en RP -de toutes les façons, vouloir rester en RP n'est généralement pas un problème-, mais je n'ai jamais compris leurs motivations je n'ai pas non plus rencontré 500 contractuels... Je pense surtout que tout travailleur est fini là où il est pas une suite de choix contraints. Quelqu'un en reconversion qui aurait échoué au concours pourrait se dire "j'ai quand même décidé de postuler en tant que contractuel par choix, alors que Caro est juste devenue enseignante afin de pouvoir suivre son conjoint". C'est comme classer les titulaires selon le nombre de fois qu'ils ont tenté le concours, ou dire qu'on est certifié ou agrégé "par choix" puisqu'on aurait pu tenter le concours de Perdir alors qu'on en connaît qui ne le sont pas "par choix" parce qu'ils ont essayé un concours du ministère des finances et ont on a tous fait des choix. Autant je comprends très bien le deuxième post où Caro explique qu'elle ne regrette pas son choix, autant s'exclamer qu'elle est contractuelle "par choix !" me paraît créer des catégories peu c'est un HS, je crains, donc j'arrête, même s'il y a un lien avec la rentrée comme quoi il serait mieux n'avoir jamais tenté un concours plutôt que ne l'avoir pas eu, puisqu'on devient un simple travailleur "par défaut".Dernière édition par valle le Mer 24 Aoû 2022 - 843, édité 3 foisCaroNiveau 9Lisak 40 C'est valable en France métropolitaine ce que tu avances, c'est vrai. Par contre, ce n'est pas le cas pour l' 9Tout à fait d'accord avec toi Valle. Bonne reprise à tous / toutes. Pour ma part, je suis toujours en attente d'une affectation et le stress commence à Lisak40 a écritAprès il y a des exceptions contractuel longue durée, tout à fait capable d'avoir le concours, sans problème de nationalité, sans famille / conjoint qui imposerait de rester en RP -de toutes les façons, vouloir rester en RP n'est généralement pas un problème-, mais je n'ai jamais compris leurs motivations je n'ai pas non plus rencontré 500 contractuels... Certains ne veulent pas subir le système de mutations. Certes, rester en RP est généralement possible, mais quand on est titulaire, on peut être loin de la zone visée et on ne peut pas refuser des postes. Lisak40Fidèle du forumEn effet Caro Je ne connais pas la situation en OM, ni même dans les autres académies. Et pour le coup tu fais partie des contractuels qui ne passent pas le concours pour pouvoir rester avec leur conjoint, ce qui me semble un raison tout à fait normale et compréhensible et de toutes les façons je ne cherche pas à juger, mais à comprendre. Bon courage pour la suite !Jenny En effet, je n'avais pas pensé à cet état de fait, toutefois cela me semble quand même une raison difficile à comprendre car il est très facile d'obtenir Créteil ou Versailles, et si on est motorisé se déplacer dans l'académie n'est à priori jamais trop difficile. Si on est muté à Paris, là encore avec les transports en commun le déplacement n'est pas un problème. C'est justement une des raisons qui me fait rester en RP je ne peux pas conduire médicalement déconseillé. Alors certes il y a même en RP des coins plus difficile à joindre que d'autres, mais à ma connaissance aucun qui soit totalement inaccessible en transports. OU bien je n'ai pas compris ton message ?Dernière édition par Lisak40 le Mer 24 Aoû 2022 - 855, édité 1 foisBaldredFidèle du forumL'état des lieux du recours aux contractuels sur France Info au mieux des candidats repêchés plutôt qu'issus de job dating, au mieux 4 jours de formation ... ou rien, au mieux une affection.... ou pas...J'ai dû manquer l'info c'est quand notre journée de grève ? Certains contractuels veulent Paris intra muros. Dans ma matière, ce n'est pas simple à obtenir, loin de là. Certains disent qu'ils refusent les services partagés... Certains postes très confortables sont bloqués pour les contractuels. Un CDE peut plus facilement garder un contractuel qu'un TZR. Sur les salaires... oui, l'académie où un stagiaire ou nétit sur 3 ne rejoint pas son poste... Sujets similairesWeek-end de rentrée, vendredi après-midi, mois de juin, 2eme jour de pré-rentrée Jean-Michel Zakhartchouk, retraité, invite les enseignants à travailler nouveau pour les AVS et AED les AVS deviennent AESH, et les AED pourront remplacer les et suppressions de postes à la rentrée chiffres primaire et secondaireLa pénurie des enseignants de Math existe-t-elle dans les lycées privés ?Secondaire - Rentrée 2012 280 enseignants recrutés à la rentrée 2012Sauter versPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum French Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese English Synonyms Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese Ukrainian These examples may contain rude words based on your search. These examples may contain colloquial words based on your search. Comment mes parents peuvent-ils faire la fête alors que Leopold est... I don't understand how my parents can have this party when Leopold is... Mes parents peuvent-ils continuer à payer mes primes? En tant que Suit'er, mes amis et parents peuvent-ils bénéficier de tarifs préférentiels sur les résidences ? Being a Suit'er, can my friends and family enjoy special rates on stays in Suitétudes properties? Regarde comment ça s'est passé pour mes parents, ils ne peuvent plus se supporter l'un l'autre! No results found for this meaning. Results 24101. Exact 2. Elapsed time 433 ms.

les parents peuvent ils refuser une avs