Dansma tĂȘte un rond-point. 1 748 mentions J’aime · 2 en parlent. Dans le plus grand abattoir d'Alger, des hommes vivent et travaillent Ă  huis-clos au rythme lancinant de leurs tĂąches et de leurs rĂȘves. Cecouple qui dĂšs les 1ers regards sont indĂ©niablement attirĂ©s l'un par l'autre, c'est avec lenteur, bien transcrite dans les 1ers Ă©pisodes qu'ils vont se chercher, se repousser, d'attirer, un pas en avant, un autre en arriĂšre, car ils sont confrontĂ©s Ă  une dure rĂ©alitĂ©. Entre devoir et raison, toutes les questions qui assaillent ce couple, sur la Despitethe title, the decor does not contain any road elements and we find ourselves in a slaughterhouse in Algiers. Retained within such a framework so frequently described by the cinema, one might expect a show of cruelty (a word which literally means flowing blood). It is not. The slaughterhouse here is primarily a huis-clos, [] LaMarmite La Marmite, c'est un trio guitares / claviers sur une base rythmique qui puise Ă  la louche dans le rock, le punk, l'Ă©lectronique ou l'industriel, et peut aussi couper les petits lĂ©gumes en quatre façon chanson. aux maux et rictus, released 15 January 2022 1. Je l'sens pas 2. Barricades 3. Jaune rond-point 4. DANSMA TÊTE UN ROND-POINT. Un film de Hassen Ferhani. Dans le plus grand abattoir d’Alger, des hommes vivent et travaillent Ă  huis-clos aux rythmes lancinants de leurs tĂąches et de leurs rĂȘves. L’espoir, l’amertume, l’amour, le paradis et l’enfer, le football se racontent comme des mĂ©lodies de Chaabi et de RaĂŻ qui cadencent leur vie et leur monde. Dans ma Shellac» VOD location » Dans ma tĂȘte un rond-point. Dans ma tĂȘte un rond-point. 100 min . Location 8 jours: 3,00 € Louer la VOD →. Dans ma tĂȘte un rond-point. DANS MA TÊTE UN ROND POINT, un film de Hassen Ferhani - Bande annonce Club Shellac. Dans ma tĂȘte un rond-point de Hassen Ferhani. Dans le plus grand abattoir d’Alger, construit par df55dfM. Montagne, bivouac & gĂ©nĂ©pi - Plus qu'un slogan, un Ă©tat d'esprit - Altituderando est un support de diffusion indĂ©pendant qui veut donner une place aux amoureux de la montagne. Nous nous inscrivons Ă©galement dans un processus de sensibilisation au respect de la nature et de notre environnement Il s'agit d'une oeuvre collaborative et VOUS ĂȘtes donc les bienvenus si vous souhaitez participer. Dans le plus grand abattoir d’Alger, des hommes vivent et travaillent Ă  huis-clos aux rythmes lancinants de leurs tĂąches et de leurs rĂȘves. L’espoir, l’amertume, l’amour, le paradis et l’enfer, le football se racontent comme des mĂ©lodies de Chaabi et de RaĂŻ qui cadencent leur vie et leur monde. Production Allers Retours Films, Centrale Electrique ‱ Producteurs dĂ©lĂ©guĂ©s Narimane Mari, Olivier Boischot ‱ Directeur de la photo Hassen Ferhani ‱ Monteur son Djamel Kerkar ‱ Mixeur Antoine Morin ‱ Etalonneur Pierre Sudre ‱ Monteurs Myriam Aycaguer, Narimane Mari, Hassen Ferhani, Corentin Doucet ‱ Responsable de la post-production Olivier Boischot Hassen Ferhani Hassen Ferhani est nĂ© Ă  Alger en 1986. De 2003 Ă  2008, il co-anime Le cinĂ© club de l’association chrysalide Ă  Alger. En 2006, il rĂ©alise son premier film, un court-mĂ©trage de fiction Les Baies d »Alger, sĂ©lectionnĂ© en compĂ©tition officielle par plusieurs festivals internationaux. En 2008, il participe Ă  La formation d ȎtĂ© de La FEMIS et rĂ©alise dans ce cadre, un court documentaire Le voldu 140. Il co-rĂ©alise, en 2010, un film documentaire Afric Don Quichotte et Nous rĂ©alisĂ© en 2013 a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© Ă  Visions du RĂ©el et au FID Marseille ainsi que dans plusieurs festivals internationaux. Dans ma tĂȘte un rond-point est son premier Long mĂ©trage. ENTRETIEN AVEC HASSEN FERHANI Quelle est l’origine de votre film, Dans ma tĂȘte un rond-point, produit par Narimane Mari, la rĂ©alisatrice de Loubia Hamra 2013 ? Les lieux sont pour moi des points de dĂ©part. Vers des rencontres, des histoires, des trajectoires de vie
 Dans ma tĂȘte un rond-point prend la suite de mes explorations filmiques de certains quartiers d’Alger et de leurs habitants. Des lieux avec des mythes et des lĂ©gendes qui leur sont propres. L’Abattoir d’Alger est une ville dans la ville, un lieu Ă  la fois ouvert et fermĂ©. Les hommes qui y travaillent viennent pour la plupart de l’intĂ©rieur du pays. J’avais ce projet de film en tĂȘte quand j’ai rencontrĂ© Narimane au FID Marseille en 2013. En nous revoyant au festival de Cordoba, je lui ai parlĂ© de mon projet. Tu as besoin de quoi ? » m’a demandĂ© Narimane qui est Ă©galement productrice. On a tout de suite entamĂ© les demandes d’autorisations. Comme l’évoque le titre citant une sĂ©quence, Dans ma tĂȘte un rond-point explore divers sujets autour de l’AlgĂ©rie aujourd’hui. Quel Ă©tait le projet initial ? Je suis tombĂ© sur un article consacrĂ© au projet de restructuration du quartier de Oued Kniss, lĂ  oĂč se trouvent les Abattoirs. On doit y bĂątir les nouveaux siĂšges des deux chambres parlementaires, avec une marina un peu plus loin
 Ce quartier d’Alger est mythique, chargĂ© d’histoire. Des dizaines de restaurants Ă  brochettes crĂ©aient une grande animation ; ils ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© dĂ©truits. Mais le projet de dĂ©molition totale a Ă©tĂ© ajournĂ© en attendant la construction d’un nouvel abattoir en pĂ©riphĂ©rie. J’ai eu comme un dĂ©clic, une intuition. Mais, tout de suite, j’ai su que ce n’était pas la destruction que je voulais raconter. Je voulais filmer des vies, celles que voudraient bien me confier les travailleurs des Abattoirs. Vous avez une certaine familiaritĂ© avec les protagonistes du film avec qui vous discutez parfois hors-champ. Comment les avez-vous choisis et dirigĂ©s ? Je voulais faire partie du quotidien de ces hommes. Aussi, avant de tourner, j’ai commencĂ© Ă  me rendre sur les lieux, Ă  traĂźner lĂ -bas, Ă  humer l’atmosphĂšre, Ă  recueillir des premiĂšres impressions. Puis, pendant deux mois, j’ai filmĂ© avec Djamel Kerkar, un ami rĂ©alisateur qui s’est occupĂ© du son. Cela nous a permis de nous adapter au rythme des ouvriers, de nous donner le temps de nous promener comme des photographes et de nous arrĂȘter lĂ  oĂč on en avait envie, sans chercher au dĂ©part Ă  choisir les protagonistes. On a parlĂ© avec beaucoup de personnes, la plupart du temps sans filmer. Je voulais qu’ils me voient travailler, tout comme moi je les regardais exĂ©cuter leurs tĂąches quotidiennes. Je leur ai expliquĂ© mon projet dans ses grandes lignes, ensuite j’ai cherchĂ© Ă  me faire oublier. Pas Ă  disparaĂźtre, mais Ă  faire partie de leur quotidien. Au fil des discussions, les principaux protagonistes se sont affirmĂ©s. Certains se sont tout de suite emparĂ©s du film. Pour d’autres, cela a pris plus de temps
 Il devait y avoir une rĂ©ciprocitĂ©, de la curiositĂ©, un partage et un respect du travail de chacun. Donc, je ne les ai pas dirigĂ©s. Ce sont eux souvent qui nous ont dirigĂ©s. Dans un mĂȘme lieu, cet abattoir, on Ă©quarrit des vaches, on applaudit un match de foot, on parle d’amour ou de politique. Ce mĂ©lange des genres Ă©tait dĂ©jĂ  Ă©crit ? Oui, dĂšs le dĂ©part, je voulais qu’on ressente l’étendue des rapports sociaux et humains entre ces hommes dans ce quasi huis-clos, leur communautĂ© mais aussi leurs solitudes. M’intĂ©resser au temps, Ă  leurs efforts, aux moments de pauses. Aux rĂ©flexions, aux rires, aux dĂ©lires et aux tristesses qui les habitent. C’est dans les coulisses du travail qu’on peut avoir accĂšs aux ĂȘtres et aux histoires. Il faut dire que beaucoup des travailleurs habitent aux Abattoirs. Certains n’en sortent presque pas, sauf pour des courses rapides dans le quartier. Dans ma tĂȘte un rond-point est composĂ© de plusieurs scĂšnes, apparemment hĂ©tĂ©rogĂšnes. Comment l’avez-vous construit au montage ? Le montage devait ĂȘtre Ă  l’image du tournage dans la mĂȘme journĂ©e, nous passions d’un personnage Ă  l’autre, d’une histoire Ă  une autre. J’ai aussi voulu donner un rythme proche de celui du raĂŻ, cette musique qu’ils Ă©coutent en permanence, avec ses crescendos et ses decrescendos. On passe d’un sujet Ă  l’autre sans transition, sans peur des contradictions. On passe du romantisme au pragmatisme, de l’optimisme au pessimisme sans se soucier de logique, ni de progression narrative. Exactement comme ils vivent leurs moments et leurs discussions. Les gestes du travail filmĂ©s dans cet abattoir sont aussi importants. On pense au film de Georges Franju, Le Sang de bĂȘtes 1949. Comment avez-vous rĂ©flĂ©chi Ă  ces sĂ©quences ? Le sang des bĂȘtes» est un grand film de l’aprĂšs guerre. Une grande part de la poĂ©sie de ce film tient Ă  ses commentaires en voix off Ă©crit par Jean PainlevĂ©. Pour mon film, je voulais que la poĂ©sie Ă©mane des personnages. Et je ne voulais pas faire un film sur la viande, mais sur ce qu’elle fait au corps des hommes qui la travaillent depuis des annĂ©es, toute une vie pour certains, qui les a marquĂ©s dans leur corps et leur esprit. Dans ma tĂȘte un rond-point se dĂ©roule essentiellement la nuit. La lumiĂšre et les couleurs fantastiques, dans les sĂ©quences des abattoirs surtout, apportent une certaine distance. Quels Ă©taient vos parti-pris ? Le jour est consacrĂ© Ă  la vente. Les clients arrivent, bouchers, distributeurs
 La nuit est Ă  la fois un temps de pause pour certains travailleurs et en partie de travail pour d’autres. Les salles d’abattage sont actives avant l’aurore. La nuit est un espace temporel oĂč l’on se livre davantage. On regarde la tĂ©lĂ©, on Ă©coute de la musique, on discute, on se confie. Et c’est un moment oĂč les travailleurs des Abattoirs se retrouvent entre eux. Les lumiĂšres et les couleurs sont trĂšs particuliĂšres, les sources sont diffĂ©rentes, il y a des lampadaires anciens, des nĂ©ons d’aujourd’hui, ces mĂ©langes donne cette lumiĂšre proche du fantastique. Plans fixes, cadres composĂ©s, jeux sur la profondeur de champ, comment avez-vous travaillĂ© l’image ? J’ai cherchĂ© Ă  trouver la juste distance entre la camĂ©ra et les personnages. Assez prĂšs pour saisir leur intimitĂ©, assez loin pour les filmer dans leur environnement immĂ©diat et respecter leur solitude. Je voulais que la camĂ©ra se fasse oublier sans pour autant se cacher. Il fallait qu’ils l’acceptent et qu’elle ne s’impose pas Ă  eux. Ils ont pris le film en main si je puis dire, au point oĂč vers la fin, un des personnages s’inquiĂšte de savoir quel sera son titre et me fait mĂȘme des propositions. Quant Ă  la composition des images, je reste assez proche de l’approche photographique. J’établis mon cadre, je patiente, je guette les surgissements. PoĂšmes populaires, Ă©vocation du printemps arabe ou des harragas
 Le film a une rĂ©sonance sociale et politique Ă©vidente. Je me suis interdit d’orienter mes personnages, de chercher un sujet plutĂŽt qu’un autre. Je voulais dĂ©couvrir ces hommes au plus prĂšs de leur rĂ©alitĂ©. Ce sont des gens qui communiquent beaucoup entre eux. Leur besoin d’échanges est immense. A plus forte raison dans ce milieu oĂč l’on travaille dur et oĂč la parole est Ă  la fois un soutien et un exutoire. Ils parlent de tout de la vie, de la mort, de leurs espoirs, de leurs rancƓurs, de l’Histoire, du monde, de leur foi, de leurs amours et, bien sĂ»r, de l’actualitĂ©. Les gens que je filme sont en premiĂšre ligne des bouleversements que connaĂźt le pays, ils peuvent ĂȘtre touchĂ©s trĂšs directement par ces questions. Mais ce n’est qu’une partie de l’ensemble des sujets abordĂ©s, y compris les plus intimes. Car, si les AlgĂ©riens aiment parler comme je vous le disais, ils rechignent Ă  parler d’eux. Ils ont une pudeur trĂšs forte et il leur est plus facile de parler politique que de leur vie personnelle. De Hassen FERHANI – AlgĂ©rie – 2015 De Hassen FERHANI – AlgĂ©rie – 2015 – 100 min – documentaire – couleur – DCP – VOSTF. Image Hassen Ferhani – Son Djamel Kerkar – Montage Narimane Mari, Hassen Ferhani, Corentin Doucet, Myriam Ayçaguer – Production Allers Retours Films, Centrale Électrique – Distribution Les Films de l’Atalante contact programmation / 01 45 65 34 41. Prix du documentaire sur grand Ă©cran et prix de la critique au 35Ăšme Festival international du film d’Amiens – Meilleur documentaire international au 33Ăšme Festival du film de Turin – Prix de la compĂ©tition française au FID Marseille 2015 – Prix du Public au festival Entrevues de Belfort 2015 – Tanit d’or aux JournĂ©es CinĂ©matographiques de Carthage 2015. Synopsis Un jeune ouvrier qui actionne une manivelle, un vieil homme qui dit un poĂšme oĂč il est question de mort, et tous les autres qui vont et viennent dans le huis-clos d’un abattoir d’Alger et de ses alentours immĂ©diats
 ; d’emblĂ©e le film nous installe au plus prĂšs de ces travailleurs et nous met Ă  leur Ă©coute. Nous ne les voyons guĂšre dans l’exercice de leurs tĂąches, nous les suivons plutĂŽt dans les temps morts oĂč ils jouent aux dominos, tentent d’orienter une parabole pour capter un match de foot Ă  la tĂ©lĂ©, et surtout discutent entre eux, voire dialoguent directement avec le rĂ©alisateur. Trois figures Ă©mergent du groupe. Il y a d’abord le jeune Youcef et son copain le kabyle » qui parlent beaucoup d’amour, de rĂ©volution impossible face Ă  un Ă©tat insaisissable, d’un avenir sans issue. Il y aussi Amou avec sa mouette venue d’Angleterre et son invraisemblable histoire de cigogne emprisonnĂ©e et torturĂ©e par des soldats français lors de la guerre d’indĂ©pendance. .. Dans ma tĂȘte un rond-point » est bien un film non pas sur » mais avec » des hommes qui nous deviennent proches. Et des images et des paroles que nous offre ce documentaire, Ă©mane une poĂ©sie portĂ©e par les mĂ©lodies du Chaabi et du RaĂŻ qui rythment le film. Le rĂ©alisateur NĂ© en 1984 Ă  Alger, Hassen Ferhani a d’abord menĂ© une carriĂšre d’assistant rĂ©alisateur. A partir de 2006, il rĂ©alise des courts mĂ©trages documentaires sur la ville d’Alger Les baies d’Alger », En remontant CervantĂšs un Ă©tĂ© Ă  Alger », Tarzan, Don Quichotte et nous ». Dans ma tĂȘte un rond-point » est son premier long mĂ©trage qui a Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ© et primĂ© dans de nombreux festivals. Films À propos de Dans ma tĂȘte un rond-point Dans le plus grand abattoir d’Alger, des hommes vivent et travaillent Ă  huis-clos aux rythmes lancinants de leurs tĂąches et de leurs rĂȘves. L’espoir, l’amertume, l’amour, le paradis et l’enfer, le football se racontent comme des mĂ©lodies de Chaabi et de RaĂŻ qui cadencent leur vie et leur monde. OĂč pouvez-vous regarder Dans ma tĂȘte un rond-point en ligne ? Films suggĂ©rĂ©s Ce dimanche en fin de matinĂ©e, un accident s’est produit sur le rond-point de Lachamp Ă  Saint Pierre Eynac, sur la RN88. Pour une raison indĂ©terminĂ©e, une conductrice de 62 ans a quittĂ© la route Ă  cĂŽtĂ© du panneau annonçant le projet de dĂ©viation de la RN 88. Elle a dĂ©valĂ© une premiĂšre pente, a traversĂ© une petite route avant de finir en contrebas de la route. La voiture, une Renault modus », a heurtĂ© de plein fouet un bloc de rocher protĂ©geant l’entrĂ©e de l’entreprise Biofloral Ă  cĂŽtĂ© du portail. Les airbags se sont alors dĂ©clenchĂ©s. Les pompiers

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